À la fois patrimoine industriel,
« En 2001, l’aménagement de la promenade de Saône révèle sa magie. Le port Rambaud renaît sous les yeux des visiteurs. Il n’a pas renié son patrimoine composé d’entrepôts et de grues. L’investissement de la Sucrière par la Biennale d’art contemporain en 2003 le dote même d’un nouveau point d’attraction. L’ancien Magasin général des sucres, réhabilité en 2003 et 2010, se laisse découvrir. Un patrimoine qui fait l’attrait de La Confluence. »
… et éco-quartier labellisé WWF,
« Cette reconnaissance implique pour le quartier (ZAC 1 et ZAC 2) la mise en œuvre d’un plan d’action durabilité. Il s’agit d’une méthodologie s’appuyant sur 10 principes communs internationaux (lire « Zoom ») déclinés localement par objectif : zéro carbone, zéro déchet, mobilité durable, matériaux locaux et durables, alimentation locale et durable, gestion durable de l’eau, habitats naturels et biodiversité, culture et patrimoine local, équité et développement économique, qualité de vie et bien-être. »
…le site Confluence renouvelle la problématique de l’insertion du paysage dans la ville.
« L’imaginaire des Lyonnais en avait perdu la trace. Pourtant, le grand paysage des bords de Saône et du confluent n’attendait que de pouvoir se révéler à nouveau. La cause de cet oubli ? Les implantations industrielles et logistiques qui en limitaient l’attrait et l’accès. Le projet de La Confluence a délivré le bord de Saône de la circulation automobile. Il a aussi doté le territoire d’espaces de verdure, de jardins aquatiques, d’un vaste plan d’eau. Et offert ainsi à chacun la possibilité de jouir de ce paysage depuis une multitude de points de vue. »