
Elle illustre parfaitement les théories de d’Ebenezer Howard, selon lesquelles, la ville et les centres doivent être organisés autour des grands axes et d’une place principale.
Les architectes ont conçu le plan d’ensemble par rapport au centre ancien de la ville, depuis la place principale Marcel-Pointet.
Le nouveau quartier s’organise autour des grandes avenues selon une sorte de toile d’araignée dont la voirie constitue les fils et la place Marcel-Pointet, le centre.
Des petites places viennent ponctuer le paysage urbain, tandis que des chemins se dispersent entre les jardins pour atteindre de grands espaces verts et parfois affectés à des jardins familiaux pour les locataires des collectifs.
Les immeubles sont disposés le long de ces avenues, parfois en retrait, parfois non. A l’intérieur des habitations, le niveau de confort et d’hygiène de la cité-jardin de Stains est ainsi une véritable avancée pour l’époque. Tous les logements disposent de l’eau courante dès l’origine et 20 % environ sont équipés d’une salle de douche.